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Dis oui!! Say yes! Enjoy Marie Pier

Enjoy. Say Yes!


 
«Si vous limitez vos choix seulement à ce qui semble possible ou raisonnable, vous vous déconnectez de ce que vous voulez vraiment, et tout ce qui reste est un compromis.»
— Robert Fritz

 
Je discutais hier avec mon amie Kathy du choix de mon futur mobilier de chambre. Un sujet d’intérêt national? J’en doute – même si, fan de déco que je suis, je me ferais un plaisir de vous en donner tous les glorieux détails! Je mentionne cette conversation parce qu’au fil de notre discussion, nous en sommes venues à aborder le thème des choix en général… Un sujet chaud, s’il en est un, car nous prenons chaque jour des centaines de petites et grandes décisions. Quoi que nous fassions, nous devons considérer plusieurs possibilités et favoriser une des options.
 

Comment savoir si ce qui atterrit dans notre vie comme par magie nous est «destiné»? Comment reconnaître la voix de notre cœur et de notre intuition lorsqu’on doit trancher? Ce sont ces questions que Kathy et moi nous posions. Nous échangions nos trucs, nos expériences, notre vision des choses… Puis, pour conclure la conversation, mon amie (qui est anglophone) a partagé avec moi ces paroles d’Alan Cohen: «If it’s not a "Hell yes!" then it’s a "Hell no!"». (Je traduirais le tout ainsi: «Si ce n’est pas "Absolument oui!", c’est "Non, merci!"») En d’autres mots: quand ça ne vibre pas dans nos tripes comme un grand OUI, il vaut peut-être mieux laisser tomber et refuser de faire le compromis…
Je ne sais pas pour vous, mais je remarque que je dois souvent avoir le courage de dire non à des options presque parfaites avant d’en obtenir une qui est vraiment en résonance avec ma vision. Des opportunités se présentent – de très belles opportunités, souvent, en apparence –, mais je ne sens pas le déclic intérieur. C’est là que je dois trancher: ou bien je décide d’attendre le déclic magique, ou bien je me vends l’idée que c’est O.K. et je baisse la barre. Ou je m’écoute, ou je laisse la peur du manque me mener. Vous pouvez deviner laquelle des approches je préconise…

J’ai constaté une chose au fil du temps: que l’on mette la barre très bas ou très haut, on l’atteindra. Le meilleur n’est pas nécessairement plus difficile à obtenir que le «pas mal». C’est comme choisir de cultiver des betteraves plutôt que des navets; les deux font à peu près appel aux mêmes ressources… C’est une question de choix. Un choix simple, mais pas toujours facile, on s’entend… car lorsqu’on refuse d’accepter ce qui est plus ou moins adéquat, on ne voit pas toujours ce qui nous attend. On n’a aucune preuve que quelque chose d’autre nous attend, en fait, bien souvent.

Je ne sais pas pour vous, mais je remarque que je dois souvent avoir le courage de dire non à des options presque parfaites avant d’en obtenir une qui est vraiment en résonance avec ma vision. Des opportunités se présentent – de très belles opportunités, souvent, en apparence –, mais je ne sens pas le déclic intérieur. C’est là que je dois trancher: ou bien je décide d’attendre le déclic magique, ou bien je me vends l’idée que c’est O.K. et je baisse la barre. Ou je m’écoute, ou je laisse la peur du manque me mener. Vous pouvez deviner laquelle des approches je préconise…

J’ai constaté une chose au fil du temps: que l’on mette la barre très bas ou très haut, on l’atteindra. Le meilleur n’est pas nécessairement plus difficile à obtenir que le «pas mal». C’est comme choisir de cultiver des betteraves plutôt que des navets; les deux font à peu près appel aux mêmes ressources… C’est une question de choix. Un choix simple, mais pas toujours facile, on s’entend… car lorsqu’on refuse d’accepter ce qui est plus ou moins adéquat, on ne voit pas toujours ce qui nous attend. On n’a aucune preuve que quelque chose d’autre nous attend, en fait, bien souvent.

Je ne sais pas pour vous, mais je remarque que je dois souvent avoir le courage de dire non à des options presque parfaites avant d’en obtenir une qui est vraiment en résonance avec ma vision. Des opportunités se présentent – de très belles opportunités, souvent, en apparence –, mais je ne sens pas le déclic intérieur. C’est là que je dois trancher: ou bien je décide d’attendre le déclic magique, ou bien je me vends l’idée que c’est O.K. et je baisse la barre. Ou je m’écoute, ou je laisse la peur du manque me mener. Vous pouvez deviner laquelle des approches je préconise…

J’ai constaté une chose au fil du temps: que l’on mette la barre très bas ou très haut, on l’atteindra. Le meilleur n’est pas nécessairement plus difficile à obtenir que le «pas mal». C’est comme choisir de cultiver des betteraves plutôt que des navets; les deux font à peu près appel aux mêmes ressources… C’est une question de choix. Un choix simple, mais pas toujours facile, on s’entend… car lorsqu’on refuse d’accepter ce qui est plus ou moins adéquat, on ne voit pas toujours ce qui nous attend. On n’a aucune preuve que quelque chose d’autre nous attend, en fait, bien souvent.
Je me reprends: il y a toujours une preuve… Elle est juste intérieure et invisible. C’est le fameux Hell yes! qui résonne en nous et qui nous guide. C’est l’énergie qui monte en nous lorsqu’on considère une idée qui nous fait comme un gant. C’est notre guidance intérieure, finalement.

Cette semaine, je vous invite donc à croire en ce qui vous habite, Sylvie. Établissez que toute chose qui vous fait vibrer est nécessairement possible, sous la forme que vous l’imaginez ou sous une autre. Choisissez le meilleur, décidez que vous en êtes digne. Choisissez l’allégresse, finalement… la douce liberté de dire Hell no! à la médiocrité, et Hell yes! à ce que vous êtes vraiment. :-)

Passez une belle semaine!
Marie-Pier
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